Pour faire face à la pollution urbaine, Patrick THEMA a cherché à utiliser ces déchets pour promouvoir l’art. Le but étant de recycler les détritus papier et carton et les transformer en une matière plus ou moins 70% biodégradable. Les œuvres sont dites « bio », dans la mesure où les matières utilisées (hormis la structure interne) sont du papier mâché et de la colle de farine de manioc afin de remplacer la colle synthétique.
Ainsi, le projet est économique et participe à une cause qui est celle de rendre ville propre. Le choix des bêtes découle donc de la protection de l’environnement, de la dépollution de la ville, et de la sauvegarde des espèces menacées.